LA ROSE ET LES ETOILES - retour au Quantique....
Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou
ARTHUR RIMBAUD : MA BOHEME
Très certainement
dans
la Vie
pas de parkings
ta
bonne
foi
toujours
est
surprise !!!
il faut
répondre
de
l'
instant
de
l' instance
alors
qu'
on
n'
a
pas compris
la
question !!!
je
me
lis
sur le petit écran
de
la
caméra
du
cinéaste
je
me
vois
comme
un
objet
c'
est
à
dire
comme
un
comédien !!!
ce
n'
est
somme toute
que
la
réalisation
de
ce
Désir
de
faire
connaître
que
je
ne
m'
appartiens pas
je
prends
acte
du
décor
et
je
me
nomme
" contraste "
sans
plus
mais
verticalement
dans
une
Parole
que
je
relève
à
la
suite
de
tant
d'
autres
pierre dressée
dans
l'
alignement
des
générations
mais
assez
lucide
pour savoir
que
l'
eau primordiale
aura
raison
de
tout !!!
vois
je
viens
vers le Sexe de la Femme
sans
document
légal
sans
ces
discours
d'
angoisse
que
la
mort
seule
devrait susciter
- peut-être ... -
je
viens
vers
le
Sexe de la Femme
comme
vers
la
crypte
d' un
Temple
et
je
ne
sais
rien
de
plus
pur
de
plus
Sacré
la Fleur seule donne sur l' Eternité
tout
le
reste
n'
est
qu'
égarements
en
tous
genres
inutiles
encombrements du Temps
dans
le
commun
sursis
les lèvres frissonnent dans le Plaisir ou le Poème
Plaisir-Poème
Poème-Plaisir
mais
cela
se
conqiert
lentement
sans
rien
éluder
de
la
peur
de
l'
envie
du
ressentiment
ces fissures de ténèbres qui nous rongent le ventre
viens
je ne t' emmènerai
pas
dans les expos d' Art contemporain
qui
radotent
des
truismes
depuis
un
siècle
ni
dans
le
parfum
des
forêts
de
prinntemps
que
la
pluie
avive
si
bien
pourtant
non
je
te
conduirai
vers
le
grand
télescope
qui
ouvre
l'
infini
de
l'
espace
et
du
Temps !!!
nous
nous
baignerons nus
dans
des
milliers
de
voies lactées
nous
remonterons
sans
vertige
vers
l'
origine du Monde
dont
la
tienne
est
le
délicieux
in
di
ce
nous mettrons à l' index les borborygmes humains
plus
inaudibles
que
l'
incompréhensible
big bang
je te raconterai
les
trous
noirs
dévoreurs
de
galaxies
et
les
naines blanches
qui
se
recroquevillent
nous
nous
lierons
aux cordes
qui
transpercent
l'
univers
et
lorsque
tu
auras
repris
Conscience
poussière
d'
étoiles
de
la
même
invisible clarté
que
moi
tramée
J E T ' A I M E R A I ! ! !
Dominique Gabriel NOURRY